Carlo Costantini et Michaël Fontaine expliquent comment l’homme, au travers du développement de l’agriculture en Afrique et en particulier la domestication du riz il y a ~1,850 an, a vraisemblablement facilité la formation d’un nouvel écotype au sein de l’un des vecteurs les plus important du paludisme en Afrique, Anopheles funestus. Cette étude capitalise sur un génome de référence assemblé en chromosome en 2019 (https://doi.org/10.1093/gigascience/giz063), sur le séquençage profond des génomes de 170 individus, et d’analyses remarquables de génétique des populations. Accès à l’article ici.